31/12/2008

Ils forment la jeunesse*

Coming soon..

Sathonay - Lyon

Lyon - Genève
Genève - Lausanne
Lausanne - Genève
Genève - Berlin
Berlin - Genève
Genève - Lyon
Lyon- Sathonay

Sathonay - Lyon
Lyon - Massy
Massy - Sathonay

*pendant qu'elle, de son côté...

30/12/2008

I got it

Comme je n'ai pas le droit au chômage,
Comme je n'ai pas envie de rester les bras croisés,
J'ai accepté une proposition. Un p'tit CDD.

A partir de mi-janvier, je travaillerai chez Maquettes HP . En tant que maquettiste hein. Pas ingénieur industrialisation.

Ça me permettra de découvrir autre chose tout en cherchant un CDI.

C'est repartiiiiiiiiiii.

28/12/2008

Ich bin ein Berliner*

*seulement du 3 au 9 janvier.

23/12/2008

Lost in the street

Merci Nico, j'aime bien cette photo.

21/12/2008

16/12/2008

La phrase du jour



[Non, nous ne sommes pas encore au chômage]
[Ça permettrait au moins de monter au ski en semaine]

14/12/2008

Barilla n'a qu'à bien se tenir...

...Volkswagen arrive.

Cliquez pour agrandir

Merci Laurent, en direct de Wuhan :)

13/12/2008

12/12/2008

Et si,

je me mettais vraiment à chercher du boulot...

Arf, il n'y a pas le feu au lac, on fera ça après noël.

[Enjoy les CP, merci Léon]

09/12/2008

9 mois, et moi et moi et moi



Voila ce qui a occupé une bonne partie de mon année 2008.
Bon, l'année prochaine, ils me rappelleront peut-être pour délocaliser de la Chine vers l'Inde (ou pas).

05/12/2008

Sortir à Wuhan

Pour tous ceux qui disent qu'il n'y a rien à faire à Wuhan:

www.insidewuhan.com

[mais nan, le webmaster n'était pas mon pote-voisin à Tai He Bai Hua]
[mais nan, vous ne me trouverez pas dans les photos]

Aie

C'est la catastrophe.
Le secteur automobile s'écroule.
Chômage technique pour quasi tous les équipementiers [Electricfil compris - 2jrs/semaine à partir de janvier].

Ouf, Sarko est là, 1000€ pour mettre une poubelle à la casse et en acheter une neuve qui ne pollue pas.

Ha ha ha. Et comment on fait pour les camions ?

04/12/2008

02/12/2008

Sperm bank denies "helping hand" rumor

Shanghai Daily, 25 novembre 2008

Cliquez pour agrandir

01/12/2008

Révolution!

Lorsque, le 31 mars, une douzaine de pilotes de China Eastern Yunnan Airlines ont voulu se mettre en grève pour appuyer des revendications salariales, ils ont décollé comme prévu de Kunming avec leurs passagers. Mais au lieu d'atterrir à la destination prévue, ils ont fait demi-tour et sont revenus se poser les uns après les autres à Kunming, en prétextant de mauvaises conditions météorologiques. Deux semaines plus tôt, quarante pilotes de Shanghai Airlines s'étaient, eux, mis en congé maladie le même jour.

Ces jours-ci, les chauffeurs de taxi des grandes villes de Chine ne s'embarrassent pas de ce genre de subtilités. Depuis le début du mois, une demi-douzaine de grèves de chauffeurs de taxi ou d'autobus ont éclaté dans différentes villes chinoises, grâce à des mots d'ordre lancés par SMS. A Shanghaï, le maire, Han Zheng, a carrément pris les devants en invitant, le 18 novembre, dix chauffeurs de taxi et six chauffeurs de bus dans son bureau pour désamorcer toute velléité de trouble de l'harmonie sociale. Dans une ville qui compte quelque 150 compagnies de taxis et 100 000 chauffeurs, mieux vaut prévenir que guérir.

Selon le quotidien de Hongkong South China Morning Post, la rencontre a permis aux représentants des chauffeurs de taxi et de bus de dire ce qu'ils avaient sur le coeur ; le maire leur a promis de mettre à leur disposition une ligne téléphonique, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sur laquelle ils pourraient exprimer leurs revendications, et d'organiser de nouvelles consultations.

Le maire a sans doute bien fait d'anticiper, car si les chauffeurs de Shanghaï lisent la presse, ils ont pu voir comment, en deux jours, leurs collègues de Chonqing ont obtenu satisfaction... et qui sait, cela leur a peut-être donné des idées. Selon le récit du conflit fait par le magazine économique Caijing, lundi matin 3 novembre, sans crier gare, 8 000 chauffeurs de taxi de Chonqing (13 millions d'habitants) refusent de prendre des passagers, pour protester contre la baisse de leurs revenus et le prix de la location quotidienne des véhicules. Chaos, les gens s'entassent dans les bus, les grévistes attaquent les rares taxis qui travaillent.

Le secrétaire du parti local, Bo Xilai, " convoque ses chefs de département pour analyser la grève " et fait prendre quelques mesures immédiates pour améliorer la situation en ville. Mais c'est ce que l'on appellerait chez nous " la gestion de la communication " qui est le plus stupéfiante. En deux jours, les autorités locales vont tenir quatre conférences de presse : " A l'âge d'Internet, inutile d'essayer de cacher les choses, dit le porte-parole de la municipalité, Zhou Bo. Cela ne fera qu'aggraver la situation. " Bo Xilai organise une réunion avec quarante chauffeurs de taxi, vingt représentants des usagers, cinq responsables de compagnies de taxi et deux représentants de stations d'essence. Les débats sont diffusés en direct sur une chaîne de télévision locale, une radio, les sites Internet de l'agence Xinhua et du Quotidien du peuple. " Bo et les autres responsables se sont assis parmi les chauffeurs de taxi, aucune place n'était attribuée, écrivent les reporters de Caijing. L'atmosphère était détendue. La discussion a duré trois heures, les gens se sont exprimés librement. "

A la fin de la réunion, Bo prend plusieurs engagements pour répondre aux revendications des taxis. Et il accepte l'idée, exprimée maintes fois depuis 2005, de la création d'une association des chauffeurs de taxi. Mais, s'étonne Caijing, " une association de chauffeurs de taxi, organisée et puissante, ne finirait-elle pas par s'opposer au gouvernement ? ". Réponse du porte-parole officiel : " Nous ne voyons pas cette association comme une rivale ou comme un adversaire, mais comme un canal de communication pour mieux comprendre les demandes des chauffeurs. "

Pas de panique : ce n'est pas Solidarnosc. Mais outre que, le 5 novembre au matin, la totalité des chauffeurs avait repris le travail, l'épisode est riche en enseignements. Les grèves ne sont pas nouvelles en Chine ; ce qui est nouveau, c'est la stratégie des autorités de donner la possibilité aux grévistes d'exprimer leurs revendications, de les écouter et, éventuellement, de les satisfaire, afin d'éviter que les conflits sociaux ne dégénèrent en troubles de l'ordre public à grande échelle, en ces temps de licenciements et d'incertitude économique.

L'autre nouveauté, c'est l'utilisation d'une transparence mesurée, dans les médias, pour désamorcer la tension. Plutôt que de laisser les rumeurs et les " citoyens reporters " faire leur oeuvre incontrôlée sur Internet, les maîtres de la propagande ont diffusé des instructions qui, selon l'agence Reuters, autorisent les médias à rendre compte des conflits sociaux. " Nous avons remarqué que d'être les premiers à donner l'information nous sert ", dit un responsable du Parti communiste. Il s'agit, a souhaité le président Hu Jintao en juin lors d'une visite au Quotidien du peuple, de " reprendre l'initiative ". Le risque, c'est que quelques esprits audacieux, poussés par la masse d'informations circulant sur Internet, ou simplement des journalistes soucieux de faire leur travail, ce qui arrive même dans la presse chinoise, poussent la logique de la transparence jusqu'au bout. Déjà vu ?

Sylvie Kauffmann

25 novembre 2008
Lettre d'Asie

29/11/2008

Je les sens bien ces vacances

Aller où je veux, quand je veux.


Faire du sport en tong.


Mettre des tee-shirt moches.

[je me sens un peu en mode Patrice Cassard]
[en moins classe quand même]

28/11/2008

24/11/2008

L'expert en chinoiseries,

rentre chez lui.

Je deviens consultant en chinoiseries, mais reste néanmoins administrateur de ce groupe.

[A moi les gauloiseries]

22/11/2008

88 乾杯

= 88 gan bei
= 88 fois cul sec

Et oui, mardi soir, ma boite organise un petit resto pour mon départ, et on sera 88 (si ça c'est pas un nombre d'invités au top..).

Autant dire que je vais probablement rentrer en France avec €urope Assistance.

Vive la crise, on était 104 il y a pas si longtemps.

[..]

20/11/2008

De toute façon, ce qui compte,

c'est le Beaujolais nouveau, avec 7 heures d'avance sur vous :)

[..ce qu'il faut pas exporter quand même..]

19/11/2008

回家 / hui jia / going home

Devant le tel merdier que ma boîte pondu, j'ai décidé d'avancer mon retour.

J'ai fini le projet pour lequel j'avais prolongé mon contrat, je n'ai plus grand chose à faire ici, et surtout, je ne suis plus motivé pour m'investir encore 5 semaines.

On s'est mis d'accord, je quitterai le navire chinois dans une semaine, pour arriver à Lyon le 27/11.

Un mois de vacances en France, ça va faire du bien.
Prendre des kilos, chercher du boulot, farter le show...

Voila, c'est la fin.
C'est pas exactement celle que j'espérai, mais je ne me fais pas trop de souci pour l'année 2009.
Je commence déjà à reprendre de la niak' :)

17/11/2008

Dieu annule sa virée en Chine

Il abuse quand même..

[je suis dans une espèce de spirale & je n'ai pas l'impression qu'elle tourne dans le bon sens]

La mafia chinoise, suite

Je commence à connaître quelques histoires sur ces mafias.

Aujourd'hui, je vais vous parler de la mafia des routes.

La mafia des routes, c'est celle qui gère la construction de votre route, en l'occurrence toutes les zones en béton permettant l'accès à votre usine.
Les relations entre le maître d'oeuvre de la construction de l'usine et tous les fournisseurs travaillant sur le chantier, sont complètement opaques, même pour notre General Manager chinois.
Alors quand ce maître d'oeuvre "omet" de payer l'un d'entre eux...ça devient compliqué..

Et c'est ce qui nous est arrivé.
La mafia des routes réclamait 80 k€ au MO. Pour faire pression, elle n'avait pas fini tous les accès routiers à l'usine.
C'est à dire qu'à 2 jours du déménagement, je ne pouvais amener aucun camion, ni aucun Fenwick, à l'intérieur du bâtiment. Il manquait 3 mètres de route devant la porte.
Sympa. J'étais assez mal, on n'avait aucun appareil de levage à lévitation...
Après négociations, le paiement fut effectué et la route terminée.
Les 1ers Fenwick ont roulé sur du béton à peine sec.
La classe.

Autre petite histoire, non moins croustillante:

Un jour, un type se pointe à l'usine et demande à être payé 100 RMB par camion qui rentre dans notre usine, ad vitam eternam.
Normal, le droit de passage est de retour.
Il faisait partie de la mafia des routes, section "entité locale option usines étrangères" (et non section "routes en béton").
Tenez vous bien, on l'a payé 2000€ pour qu'il nous laisse tranquille (200 tickets d'entrée).

[La Chine? Laisse béton..]

16/11/2008

My last chance

Dans 8 jours, j'ai rendez-vous avec Dieu ("il vaut mieux s'adresser à Dieu qu'à ses saints").

Je vais pouvoir sortir mon costard sur mesure & mon numéro de victime de la crise.

Ça m'évitera peut-être une histoire comme celle-là.

[Une entreprise c'est comme une machine à laver, parfois il faut enlever du linge sale]
[ou plutôt ne pas en rajouter]
[ça me démange]

Pour quelques chinoiseries de plus

o_0

[il y a pire que les sandwichs SNCF :)]

12/11/2008

8.6

Rien à voir avec la Bavaria, 8.6, c'est simplement le taux de change actuel € / RMB.

Il était juste à 10.5 il n'y a pas si longtemps.

La conversion rapide 1€=10 RMB n'est plus.
Snif. On a perdu quasi 20%.

[il est grand tant de se tirer]

www.RueDuCommerce.cn



Merci Laurent !

11/11/2008

Transfert Industriel Wuhanais, bonjour

[attention, ce message peut être apparenté à un publireportage]

Voila,

Après le démontage (essentiellement pneumatique et électrique) de toutes les lignes de production, l'emballage en caisse de tous les équipements critiques et/ou fragiles, le transfert vers la nouvelle usine, le positionnement au cm près de tout ça dans le nouvel atelier, on a enfin fini notre boulot.

Ça représente quand même :
  • 40 rotations de camions (8 km séparaient les 2 sites)

J'ai fait quelques A/R dans la benne (je vous vois venir, nan, ce n'était pas une Laden), pour voir si ça vibrait pas trop :)
  • 5/6 mois de préparation

    [création des stocks / du planning / choix du fournisseur / design du nouveau plan d'implantation / obtention des exigences & accords clients etc.]

  • Quelques petites prouesses chinoises (par ici aussi):

    2 presses de 2T sont passées par là

  • 20 caisses:
  • 7 presses à injecter:
  • 130 équipements au total, plus un magasin d'une centaine de palettes, plus tous les bureaux (100 personnes)

  • 1 semaine d'avance sur mon planning initial [le transfert en lui même a duré 2 semaines]

  • 0 accident corporel

  • 1 presse qui a pris un peu d'angle:

    Loi de Murphy : c'est toujours un samedi matin, quand tu te lèves à la bourre, et que c'est la dernière des presses à transférer, que ton collègue t'appelle "Antoine, where are you? I think we have a problem".

  • Un budget de quelques centaines de millier de RMB

  • Un transfert terminé avant la fin de la construction de la nouvelle usine
A part cette presse (qui va refonctionner dès demain, j'en suis sur), I'm quite happy =)
On bosse depuis lundi dans la nouvelle usine, ça le fait !

09/11/2008

02/11/2008

Guest star

Devinez qui est venu me dire bonjour.
Lui-même ;)

[Cornaux en force]

30/10/2008

"I heat* the credit crisis from" - me too

Extrait d'email d'un ex-collègue:

"Do you lost your money in this financial crisis?

But your firend (Xujiling) lost a lot money (MORE THAN RMB50000) in this financial crisis!
I bought a lot of copper twenty days ago(the price of copper was RMB45000 per ton ),now the price of copper is REM26000 per ton.
I heat the credit crisis from USA, because It bring the financial crisis to me!
And I remember you will live China in the end of this year. what about you job now?"

Réponse :

"I didn't lost any money due to the crisis, but I lost a job...EFI cannot give me a job for next year..."

Et oui, ça n'arrive pas qu'aux autres..
Entre le moment où je suis rentré en France (fin du mois de sept.) et maintenant, mes deux pistes les plus sérieuses se sont cassées la gueule. Bien comme il faut en plus.
Merci le merdier financier.

* il voulait bien sur écrire "I hate".

[ANPE, APEC, me voila]

29/10/2008

La mafia chinoise.

C'est l'histoire d'une voiture...
Qui est venue se garer après que mon camion grue arrive dans la nouvelle usine. Quand il a fallu que le camion parte, impossible de passer, la caisse bloquait la route. On a cherché le proprio 20min sur le chantier, en vain.
Éclair de lucidité chinois: on peut appeler le n° de téléphone marqué sur la plaque...
Au bout de 10 min, un mec se pointe, venant de l'extérieur de l'usine...

Et il venait de là bas, depuis une fabrique de briques (je vous l'a fait gratos celle-là) :

Et qu'est-ce qu'il foutait là bas ?
Bah il jouait à des jeux clandestins, à 14:30.
Normal.
On a failli bouger la caisse au Fenwick. On a bien fait d'attendre.
J'ai juste dit au type "kuai dian kuai dian", soit "dépêche-toi, vite".

[J'vais finir les pieds dans un seau de béton au fond du Yangtze]

Le boulot? Pas pire..

[Si vous voyez quelque chose, vous me le dites hein]






[Enfin dans le vif du sujet]

25/10/2008

Je vous présente mon tailleur

"Monsieur porte à gauche ?"

23/10/2008

Chinoiseries du vendredi

[nan mais là...]

[bon ap']

22/10/2008

Playboy ? Non pas du tout,

je suis simplement un Panaryboy.

21/10/2008

Indiana Jong

["bouge pas, je vais me mettre au milieu de la route pour qu'il s'arrête" ou pas]

Oussama Ben Dong

[Paye ta silicose]

20/10/2008

Laisse pas traîner ton Fion


"Aujourd'hui, au plutôt il y a 3 mois, j'ai acheté une pochette à cocktail -chinoise- pour aller à la soirée du 14 juillet, organisée par le Consulat. Dans la précipitation de l'achat, je n'ai pas vu que c'était une "FION". Pendant toute la soirée, j'ai eu le droit à "fait voir ton FION", "met mes clefs dans ton FION" etc. VDM"

[merci Barbara :-]

18/10/2008

Un après-midi au bazar wuhanais

Attention les yeux, on a dégoté de la chinoiserie haute gamme. Même à Shanghai on n'en voit pas des pareilles.

Rue obèse

adidaj

From Taly of course

adidos la marque aux 4 bandos

adidad

pmua


Marion, ne rit pas, je suis entrain de choisir ton cadeau

Y'a de quoi finir végétarien ici..